En fait, le sergent Charles Poirier a confirmé jeudi que l’Équipe intégrée de la sécurité nationale du Québec a ouvert des enquêtes, suite à de possibles activités de ce centre.
Des membres de la diaspora chinoise auraient potentiellement été victimes d’intimidation, de harcèlement ou de ciblage préjudiciable.
La GRC souligne qu,Un « État étranger » soutiendrait ces activités criminelles, c’est-à-dire le Parti communiste chinois.
Un autre établissement, le Service à la Famille Chinoise du Grand Montréal, est lui aussi visé par l’enquête.
Selon ce que rapporte le Journal de Montréal, la conseillère municipale de Brossard et directrice du Centre, Xixi Li, nie toutes ses allégations.
Elle soutient que l’établissement « travaille pour le bien-être de la communauté chinoise » et se demande « qui a inventé cette histoire ».
Enfin, la GRC demande à la communauté chinoise de collaborer avec elle afin de faire avancer l’enquête.