La représentante de l’organisme Sauvetage Animal Rescue a en fait envoyé cette lettre mercredi aux avocats représentant la Ville dans l’affaire des cervidés du parc.
Elle y écrit que les membres de son cabinet et elle-même sont « sans mots » au vu de l’intervention du Service de police de l’agglomération de Longueuil.
Me Goldwater affirme que le policier impliqué n’a respecté « aucune mesure raisonnable de sécurité ».
Il n’aurait également pas pris en compte le bien-être de l’animal, ou l’impact de l’incident sur les résidents aux alentours.
Selon l’avocate, ce « manque d’empathie » pour les cerfs du parc Michel-Chartrand se remarque aussi chez les décideurs, autant au niveau municipal que provincial.
Elle incite cependant la Ville de Longueuil à prendre des mesures pour prévenir qu’un tel événement ne se reproduise.
Questionné par le FM 103,3, le cabinet de la mairesse, Catherine Fournier, répond que l’affaire est judiciarisée.
L’administration municipale ne peut donc offrir de commentaires.
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