Il fait notamment référence aux attaques verbales subit par Chrystia Freeland, aux menaces de mort à l’encontre de Marwah Rizqy et au cambriolage du bureau de comté d’Enrico Ciccone.
Selon M. Damphousse, ces événements s’inscrivent dans « une montée fulgurante de la violence envers les élus », qui se déroule depuis quelques années.
Il ajoute à ce sujet que ses collègues au conseil de ville et lui-même ont aussi été victimes d’incidents violents.
Le maire mentionne justement qu’une citoyenne l’a « abordé de façon très violente » récemment lors d’une fête familiale, malgré la présence de nombreux jeunes enfants.
Martin Damphousse précise que « le droit de dénoncer existe », mais invite cependant l’ensemble des citoyens « au calme et au respect de tous ».
Il conclut en déclarant que « personne ne mérite de vivre autant d’agressivité dans son travail, de quelque forme que ce soit, en personne ou via les médias sociaux ».