Elle a indiqué que près de 1000 personnes y prennent part en présentiel et en virtuel.
Lors de son allocution, Mme Fournier a insisté sur l’urgence d’agir dans le domaine du logement.
De plus, elle a souligné l’importance de donner davantage d’autonomie aux municipalités.
La mairesse de Longueuil a indiqué que ce manque de flexibilité limite la portée des différentes actions des villes.
Elle pense notamment à l’émission de permis, l’inventaire des terrains et le fait de « faciliter les programmes ».
En ce sens, Mme Fournier a affirmé que les engagements actuels de Québec « n’étaient pas à la hauteur des besoins ».
Elle a ajouté que « l’argent c’est le nerf de la guerre ».
Néanmoins, sur une note plus positive, Catherine Fournier a tenu à souligner que le dialogue était ouvert avec le gouvernement provincial et ce, depuis le début de son mandat.
Elle précise que son administration « a pu engager des discussions avec le gouvernement, notamment sur le droit de préemption et la réforme de la loi sur l’expropriation ».