Ils se soulèvent aussi quant à l’autorisation donnée par le ministère de la Faune, des Forêts et des Parcs de le faire à l’arbalète.
Tout d’abord, René Grignon, ardent défenseur des cerfs de Virginie et responsable de les nourrir avec de la moulée depuis février, affirme que le décompte est trop élevé.
Selon lui, il y aurait un maximum de 60 cervidés au parc, non pas 108 comme le prétend la Ville.
Il ajoute avoir demandé le dénombrement au ministère de la Faune et ne pas avoir eu cette information officielle.
Il espère aussi que Me Anne-France Goldwater va demander un décompte précis des bêtes.
M. Grignon croit, comme le suggère le biologiste Michel Lahaye, que la pose de treillis pourrait contrôler la présence de cerfs.
Cela pourrait permettre au parc de se régénérer dans les autres zones.