Ces organisations ont lancé un « plaidoyer » pour de nouvelle normes dans le réseau, vendredi dernier.
Une pétition a d’ailleurs été mise en ligne, pour obtenir des appuis.
Le vice-président de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), Jérôme Rousseau, assure que les ratios peuvent changer même dans un contexte de pénurie de personnel.
Ainsi les employés disent toujours porter le réseau « à bout de bras ».
D’ailleurs la pénurie n’épargne pas la Montérégie.
Selon la présidente de la (FIQ) pour la Montérégie-Ouest, Mélanie Gignac, il faut rapatrier le personnel du privé.
La pénurie de main d’œuvre est d’autant plus critique en raison de l’exode des employés du réseau public, dit-elle.
Elle prétend qu’actuellement le personnel de nuit peine à offrir des soins de qualité aux patients.