Le conseiller trouve déplorable que certains résidents soient obligés de passer par un long processus à Longueuil.
Il a raconté l’expérience d’un père de famille qui aurait payé 10 000 $ pour des études pour rebâtir une propriété dite « patrimoniale ».
Il a affirmé, il y a quelques semaines, que les maisons des années ’60 ne devraient pas porter cette étiquette.
Par ailleurs, M. Lemire dit que la Ville tarde à mettre en place le comité de démolition.
De son côté le conseiller Jonathan Tabarah, assure que les projets de rénovations vont cheminer dans un délai raisonnable.
Il tient à rappeler que les problèmes de constructions de types triplex dans certains quartiers, sont réglés.
D’ailleurs Jonathan Tabarah affirme que les maisons dans les secteurs de Laflèche et de LeMoyne sont mieux « protégées ».