En effet, l’entreprise affiche un bénéfice net de 9 M$ US par rapport à une perte de 14,1 M$ US à la même période l’an dernier.
De plus, l’action d’Uni-Sélect a bondi de 14 %, malgré la pénurie de main-d’œuvre et les difficultés de la chaîne d’approvisionnement.
Son président exécutif et chef de la direction, Brian McManus, affirme que la direction est prête à envisager des « acquisitions stratégiques ».
La compagnie n’a pour l’instant émis aucune cible précise pour ces futurs achats.
Le chef des finances, Anthony Pagano, soutient justement qu’il ne répétera pas l’erreur de « surendetter » Uni-Sélect.
Selon M. Pagano, la compagnie a réussi à se sortir de son endettement et n’est pas pressée de « revenir à ce seuil ».
Il soutient enfin que la direction sera très prudente et qu’elle pensera à la structure de son capital dans le futur.