Le Syndicat de Champlain croit que la sécurité du personnel est compromise.
Ainsi la vice-présidente de la section soutien, Guylaine Bachand, cite en exemple les intervenantes des services de garde.
Elles sont demeurées au travail pour assurer un service « exceptionnel » depuis une semaine.
Il n’y a donc pas eu de période de confinement, comme c’est le cas pour d’autres professionnels.
Mme Bachand rappelle également que cette situation concerne les employés de soutien.
Le syndicat veut que le provincial leur accorde une « prime COVID-19 ».
Le télétravail n’est pas possible pour ces travailleurs des écoles du Centre de services scolaire (CSS) des Patriotes.
Par ailleurs, la pénurie de main d’œuvre ne pose pas de problème à court terme chez les intervenantes.
C’est lors de la réouverture des établissements que les besoins se feront sentir, explique Mme Bachand.