En effet, l’organisation avait proposé des solutions autres que l’euthanasie pour réduire le cheptel de chevreuils dans le parc.
Il y avait notamment la relocalisation, la stérilisation chimique et le tout sans frais pour le contribuable.
Si les instances responsables avaient pu collaborer dès le début, tout cela aurait pu être évité.
SAR trouve dommage que plus qu’une soixantaine de cervidés doivent être abattus au lieu de 15, tel que proposé.
Ce plus grand nombre résulte d’un retard sur l’application des lois et règlements entourant le bien-être animal.
D’ailleurs un membre de SAR se trouvait aussi à la Table de concertation.
La lecture des propos de SAR permet de déduire que son représentant aurait plutôt opté pour une solution éthique pour abaisser la population de cerfs.
Une de ces solutions aurait été de les déplacer sécuritairement vers un refuge.