Cet avis de motion a été adopté à l’unanimité le 10 novembre, à l’Assemblée nationale.
Ainsi, le libellé partagé sur les réseaux sociaux, cite qu’il va manquer 17 000 éducatrices dans le réseau dans les prochaines années.
Le Syndicat des travailleuses et travailleurs en petite enfance de la Montérégie (STTPEM-CSN) exige donc un rattrapage salarial.
Il s’agit d’un point critique dans les négociations pour renouveler leur contrat de travail.
La présidente du STTPEM-CSN, Nadia Vallée, estime qu’il s’agit d’une avancée pour les membres.
Elle ajoute enfin que tous les titres d’emploi doivent bénéficier d’une augmentation de salaire.