Selon la directrice de la (DPJ) de la Montérégie, Marie-Josée Audette, ces chiffres ont en fait été déplacés en raison de la pandémie.
II faut savoir que les élèves ont subi un stress important lorsque la crise sanitaire de la COVID-19 a forcé la fermeture des écoles.
Mme Audette souligne aussi que les motifs des appels sont nombreux.
Il peut s’agir de conflits liés à la séparation des parents et également de cas de négligence.
Des signalements peuvent être faits par différents intervenants, tel qu’un policier ou un enseignant, a rappelé la directrice.
Elle ajoute que sur 100 cas, certains ont besoin de services, mais pas nécessairement de protection de la DPJ.
Le bilan 2020-2021 fait état de 17 800 signalements traités en Montérégie, soit 48 signalements d’enfants par jour.