Selon la candidate, il faut travailler à s’assurer d’améliorer le vivre-ensemble entre l’aéroport et la population riveraine.
L’acceptabilité sociale doit être davantage mis en valeur et être des conditions au projets de développement.
Mme Fournier et son équipe soutiennent, avec en main des articles sur les rapports médicaux sur la santé des populations limitrophes aux aéroports, qu’il ne faut pas prendre à la légère les troubles de sommeil causés par le bruit des avions la nuit.
Elle dit que le phénomène va au-delà de Saint-Hubert, des quartiers comme Laflèche et Greenfield Park.
C’est pourquoi, si son équipe est élue le 7 novembre, elles veulent engager un processus de communication avec DASH-L.
Son projet prévoit négocier la fin des vols de nuit et demander un inventaire exhaustif des émissions de gaz à effet de serre projetées dans le cadre des projets de développement de la zone aéroportuaire.
Elles veulent aussi discuter de moratoires sur certains sujets pour fins d’études plus approfondies.