Cette sensation se fait particulièrement sentir lorsqu’il siège à la table de l’agglomération de Longueuil.
Martin Murray affirme que le maire a le devoir de représenter ses citoyens et de se faire le porte-parole de son conseil de ville.
C’est le cas lors de votes tenus aux séances d’agglomération notamment.
Il estime que les maires de villes liées se voient contraints de rapporter les choix des élus de leur municipalité.
Il ajoute que c’est parfois au détriment de leur propre analyse et que cela cause un certain dénie de leur rôle.
Martin Murray trouve aussi dommage l’attitude, dit-il, d’une personne autour de la table du conseil de Saint-Bruno.
Elle déciderait de l’issue d’un vote à faire à l’agglomération au nom du conseil municipal, même si ce n’est pas la position du maire.
Le maire Murray parle de déni de démocratie.