En effet, la Fondation craint les effets pervers, non seulement sur la santé humaine, mais sur la biodiversité.
L’Organisme est préoccupé par l’impact qu’aurait la hausse de ce pesticide considéré cancérigène et les quantités croissantes de dioxines et de phosphore dans les écosystèmes.
Donc, il pourrait s’ensuivre la disparition des abeilles, entre autres espèces, et l’apparition d’algues bleues dans les cours d’eau.
Les Montérégiennes, dont le mont Saint-Bruno, sont des populations sources importantes pour la biodiversité des corridors écologiques, avec autour des terres agricoles.
Ces terres sont déjà fragilisées par la production, l’agriculture industrielle, l’étalement urbain et le réchauffement climatique.
Selon la Fondation du mont-Saint-Bruno, il ne faut pas ajouter au stress une teneur plus élevée de glyphosate, mais plutôt trouver des solutions alternatives propres.