Le représentant de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé (APTS) de la Montérégie-Ouest Francis Collin, espérait pourtant réaliser des gains dans le cadre des négociations avec Québec.
Or, il n’y a pas eu d’entente sur les conditions de travail des employés du réseau, après la grève des 7 et 8 juin.
L’APTS avait obtenu un mandat de grève de quatre jours. Ce droit est conditionnel au maintien des services essentiels dans les établissements, alors que la pandémie sévit toujours.
Du côté de la Fédération Interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), il y aura un vote décisif en août.
Le syndicat des infirmières doit se prononcer sur des points au cœur des négociations avec Québec, telles que l’augmentation de salaire et la retraite. Leur convention collective est échue depuis plus d’un an.