Ces derniers souhaitaient rendre inapplicable les articles 61 et 62 d’une loi qui veut, somme toute, que le maire rende des comptes aux conseillers municipaux concernant le conseil d’agglomération.
Ces articles forcent notamment un maire à voter dans le même sens que son conseil au sein de l’agglomération.
La résolution des trois maires était un principe anti-démocratique selon certains conseillers de Saint-Bruno.
Ludovic Grisé Farand compare ce geste du maire Murray à une dictature.
La conseillère Louise Dion abondait dans le même sens en disant que la démocratie municipale repose sur le principe de souveraineté du conseil, et non sur la souveraineté du maire.
Elle critique aussi le maire Murray pour avoir insulté ses conseillers municipaux à l’agglomération.