L’agresseur du mont Saint-Bruno, Yves Roy, est de retour sur en cellule, depuis le 24 décembre dernier.
L’homme de 48 ans avait tenté d’étrangler une joggeuse en 2016 au mont Saint-Bruno.
L’ordre lui a été intimé par la commissaire des libérations conditionnelles canadiennes, Jessie Landry-Marquis.
Six mois après avoir obtenu sa libération conditionnelle en juin dernier, Yves Roy aurait sollicité des rencontres avec plusieurs femmes via Facebook, un interdit de ses conditions de libération.
La commissaire Landry-Marquis souligne aussi les images de jeunes femmes peu vêtues trouvées sur son ordinateur.
Le risque de récidive d’Yves Roy était devenu « inacceptable pour la société », selon cette dernière.
La décision en 2016 condamnait Yves Roy à quatre ans et demi derrière les barreaux.
Auteur: Laëtitia Gagnon