L’Association précise que plusieurs projets sont touchés notamment par des enjeux d’acceptabilité sociale.
La lourdeur administrative pour l’obtention des permis est pointé du doigt.
Le phénomène « pas dans ma cours » a aussi été soulevé dans un sondage interne.
Le président-directeur général de l’APCHQ, Maxime Rodrigue, appelle les différents paliers gouvernementaux et les citoyens à faire passer l’intérêt collectif avant l’intérêt individuel.
L’organisme ajoute que plusieurs répondants au sondage avaient une réserve à communiquer l’information.
Ces derniers s’inquiètent d’un impact négatif sur les délais de leurs projets.
Enfin, l’APCHQ croit que la crise du logement sera difficile à résorber avec ce blocage de 25 000 unités.